Montgibaud-Limoges le 8/10

Nous voici arrivés a Limoges, capitale du limousin, ou le ciel bleu a finalement percé la couche nuageuse de  cette journée passée sous un ciel gris. Le départ de Montgibaud s’est fait en compagnie de Ludivine, docteur en biologie cru 2014, et qui pointe a l’ANPE ! S’il fallait illustrer notre mouvement, Ludivine est l’exemple type de la raison de Sciences en Marche. Après le café et la brioche offerts par M. le Maire, nous entamons cette journée sur une route détrempée, mais la pluie a cessé.
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Et qu’il est bon de discuter avec un autre cyclo sur nos belles routes ! En plus le vent est avec nous et nous filons donc prestement vers Solignac, atteint bien plus tôt que prévu. La chance est avec nous car on y découvre une petite boucherie avec dépôt de pain qui nous confectionne de superbes sandwichs. On en profite aussi pour visiter l’église de l’abbaye, et pour ceux qui passent dans le coin, l’arrêt pour contempler les miséricordes est un must, a faire obligatoirement. Mais bon je me détourne de notre marche et c’est sur une route séché que nous filons vers Limoges, arrivée par le vieux pont St martial qui enjambe la Vienne (vidéo IMG_0417).
Une petite cote pour atteindre la mairie a 15h, où personne ne nous attend malgré un article du populaire qui indique qu’un stand de SeM y sera installé pour signer la pétition. C’est pas grave, l’essentiel est que le journal est indiqué le site internet. Une attaché culturelle de la mairie vient quand même me rencontrer après avoir insisté, et se fond en excuses de n’avoir rien organisé. Je vous laisse apprécier. Du coup on s’installe en sauvage devant la bibliothèque municipale ou l’on tracte efficacement avec Ludivine. On accroche les poster sur des panneaux extérieurs et sur la voiture, ou figure toujours la banderole de SeM (photo).
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Malheureusement le RdV avec le populaire tombe a l’eau, et nous finissons notre journée devant la bib. On remet les vélos dans la fourgon, direction la maison de notre hôte, Étienne. On y parle Géographie, car Étienne est en 4eme année de thèse et travaille a l’extérieur pour s’autofinancer. Ses connaissances viticoles vues du ciel nous font redécouvrir le paysage des vignobles français et leurs cultures humaines. Nous découvrons interloqués le persan, un de ces cépages mis au rebut depuis longtemps et réintroduit récemment en culture pour ses qualités ré-appréciées face au réchauffement    climatique. La encore un exemple de la nécessite de continuer les recherches sur ces cépages abandonnés!

Voila pour ce 8 octobre. Demain direction Poitiers, 120 km. A suivre.

Thierry

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