Encore quelques photos de l’arrivée des cyclistes à Paris et de la manifestation.
Retrouvez toutes les photos de la manifestation ici
Encore quelques photos de l’arrivée des cyclistes à Paris et de la manifestation.
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Ce matin, environ 150 cyclistes se sont élancés de Gif sur Yvette pour l’ultime étape de Sciences en Marche avant la grande manifestation parisienne !
La journée commence dur avec la montée sur le plateau de Saclay. Les courageux cyclistes profitent d’une pause et d’un petit ravitaillement avant de repartir vers le campus de Polytechnique.
La pause déjeuner a lieu dans un cadre magnifique au parc de Sceaux, et nous profitons d’un rayon de soleil qui nous réchauffe après le crachin breton du début de matinée.
Le trajet se poursuit en empruntant la coulée verte, la circulation se densifie fortement en arrivant sur Châtillon, et c’est une arrivée triomphale à la porte d’Orléans, où les cyclistes sont accueillis par les centaines de personnes déjà rassemblées pour la manifestation.
Les cyclistes se placent en tête, Patrick Lemaire prend la parole, et c’est le début de la manifestation, qui a rassemblé environ 8000 personnes !! Bravo à tous !
Arrivée des cyclistes de l’axe Sud-ouest / ouest à Gif sur Yvette
Evry Gif/Yvette, 7 cyclistes, presque la fin
Désolée, il y a de la publicité au début de la vidéo, mais ne ratez pas ce petit reportage sur notre unique étape en Kayak !!
Ce jeudi, l’opération « Sciences en marche » a remonté la rivière, de Locquénolé à Morlaix. 35 kayakistes et autant de cyclistes ont ramé et pédalé pour alerter l’opinion sur « la nécessité d’une politique ambitieuse dans le secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche ». Les images de Sophie Prévost. Plus d’infos sur www.letelegramme.fr
Ateliers d’archéologie sur l’esplanade de la Défense animés par les archéologues de la Maison de l’Archéologie et de l’Ethnologie et Arkéomédia.
Départ le mercredi matin, rejoint par François. Nous passons au marché, et rencontrons un journaliste du Courrier du Loiret. Discussions et soutien très agréable ! Petite étape à travers les champs de Bettraves et petit village mignon avec ses maisons en mur de pierres.
Etampes : je suis hébergé par Severine, post-doc en Socio à Paris, qui enchaîne CDD et vacations, et cherche…un poste !
Avec Camille Boutron, Cyril Catelain, Carine Robert et Nicolas Soler
L’étape commence par une rencontre avec le service de communication et de la mairie de Château-Thierry où nous sommes reçus à bras ouverts. C’est l’occasion de présenter l’initiative Science en Marche et de partager nos préoccupations communes : les deux adjointes au maire avec qui nous aurons l’occasion de discuter par la suite sont elles-mêmes enseignantes dans le secondaire et nous assurent de leur soutien. Encouragés par cet excellent accueil, c’est donc la fleur au fusil que nous prenons la route pour Charly sur Marne, où nous avons prévu de déjeuner et de rencontrer son maire, M. Claude Langrène, qui nous attend en effet avec deux de ses collaborateurs. L’accueil, encore une fois, est chaleureux et amical, et c’est au champagne, rien de moins, que nous trinquons pour les sciences. Le chemin est en effet bordé par les vignes et d’aucuns diront que nous n’avons pas choisi cette étape par hasard…
Après une longue discussion où nous échangeons avec les élus de Charly-sur-Marne, nous sommes interviewés par une journaliste du journal régional L’Union qui s’était déplacée spécialement pour nous. C’est aussi le moment de se restaurer et nous pique-niquons dans une salle qui nous a été très gentiment prêtée par la mairie avant de reprendre la route vers Meaux. Nous avons par ailleurs prévu de passer par la Mairie de La Ferté-sous-Jouarre que nous avons prévenue de notre visite.
C’est quelque peu émoussés par la pluie, qui a commencé à tomber peu de temps après notre départ de Charly-sur-Marne, que nous arrivons à La Ferté. Trempés, crottés, et même sanglants pour certains d’entre nous, nous débarquons à la mairie où nous sommes tout d’abord reçus quelque peu fraichement. Ne les ayant prévenus que la veille, aucun de ses élus n’a en effet pu se rendre disponible pour nous rencontrer. Qu’à cela ne tienne : nous sommes finalement présentés à M. Jean-Luc Charbonnel, adjoint au maire chargé de la sécurité, du transport et de la circulation. Il nous reçoit avec un excellent café et nous lui exposons les grandes idées du mouvement Sciences en Marche, ce qui nous donne l’occasion d’échanger longuement autour de la question de l’emploi scientifique et de la politique des sciences. C’est de nouveau secs, et quelque peu rassérénés, que nous enfourchons une dernière fois nos vélos pour pédaler jusqu’à Meaux.
Si nous exhibions fièrement nos drapeaux Sciences en Marche en alpaguant les riverains sous le soleil matinal de Champagne, l’arrivée jusqu’à Meaux tiendra plus du pèlerinage alors que les côtes se succèdent, sous un climat relativement hostile. La dernière, sur la très transitée départementale 603 quelques kilomètres seulement avant l’arrivée à Meaux, nous aura laissé un goût de sensation forte. C’est finalement vers 18 heures que nous arrivons devant la mairie de Meaux où nous réussissons à nous présenter à une conseillère qui nous propose de nous donner plus de temps le lendemain. Affaire à suivre donc, du côté de l’équipe de Jean-François Copé… En revanche, nous étions attendus par une journaliste du Parisien qui, nous l’espérons, permettra à ses lecteurs de connaître le mouvement Science en Marche et de savoir qu’il est passé par chez eux.
Finalement, nous atterrissons au bistrot situé en face de la mairie de Meaux, La Jeanneke. Juste avant d’entrer dans le bar, un homme grisonnant sympathique nous interpelle « eh, mais c’est vous qui êtes partis de Montpellier ! Je vous ai vus aux infos ! ». Nous lui expliquons alors de quoi il s’agit ce qui nous vaudra une tournée générale : merci à Christian le musicien ! Cette mousse de fin de parcours nous permettra de faire le point de fin de journée et de parler de l’organisation du grand rassemblement de vendredi. Mais aussi de continuer d’échanger avec quelques clients du bar, intrigués par notre dégaine. La sociologue que je suis est aux anges. Des longues conversations s’engagent et la journée se termine sur l’idée que, finalement, il suffit de discuter.
A Solange, Julie et Patrick, se joignent ce matin Mylène et Romain, venus de Montpelier pour l’occasion. Du coup on reforme un joli groupe qui devrait s’agrandir encore demain matin.