Repas bucolique des 5 strasbourgeois ce midi en route vers Luneville. Partis à 9h30
ils sont arrivés à 18h30 : 90 km sous le soleil. Le dieux sont toujours avec nous.
On parle de nous :
Repas bucolique des 5 strasbourgeois ce midi en route vers Luneville. Partis à 9h30
ils sont arrivés à 18h30 : 90 km sous le soleil. Le dieux sont toujours avec nous.
On parle de nous :
64 cyclistes au départ et 45 à Saverne. Beau temps, malgré des prévisions très inquiétantes.
Les dieux étaient avec nous. Tout s’est bien passé grâce à une logistique efficace ( 5 ou 6 réparations et deux vélos récupérés par la camionnette).
On parle de nous :
http://la-feuille-de-chou.fr/archives/72136
http://histoiresduniversites.wordpress.com/2014/10/05/sciences-en-marche-ca-roule/
http://histoiresduniversites.wordpress.com/2014/10/07/sciences-en-marche-140-photos/
5 octobre, départ de Cahors
10°C , crachin breton, muscles froids, côtes 10% pour attaquer, on y va. Mais belle descente pour rejoindre le Lot puis le Vers qu’on longe dans les frimas de l ‘automne naissant, tout roule ! Histoire de se remettre en jambes, petites côtes et descentes se succèdent jusqu’à Labastide-Murat, où le maire nous a mis à disposition la salle multi média, il y règne un agréable 25°C.(voir photos). mais pas un chat…ah si, deux chats avec qui nous avons bien discuté. Le Malbec du Cahors local nous stimule pour atteindre Carlucet, magnifique village lotois ; pas le temps de s’arrêter, on est trop en forme (vive le Malbec). Surtout qu’il nous reste à affronter les 3 côtes avant d’atteindre Rocamadour. Heureusement il fait maintenant 11°C , mais on s’en moque, car après un dernier virage on découvre ce village accroché à la falaise ; quelle récompense aux efforts de Thierry resté le seul en lice sur ce parcours de compétition.
Encore quelques touristes dans Rocamadour pour nous écouter attentivement, prêts à prendre la baïonnette pour défendre notre futur. Accueillis par le maire, on discute frigorifiés, du mouvement. Après un dernier effort sous la flotte, nous sommes royalement accueillis à Mayrinhac le Francal et son église qui surplombe la maison de nos hôtes. La saucisse de St Sozy est la meilleure du monde, qu’on se le dise. Et la prune…
Péage de Roussillon-Lyon 70 kms 20 cyclistes plus un conducteur pour la camionnette, une vingtaine d’autres cyclistes sont venu-e-s à notre rencontre à notre arrivée vers Lyon.
Quel plaisir aussi d’être à nouveau nombreux dans le groupe. Beaucoup de biologistes, comme d’habitude (taux de chômage des docteurs en bio trois ans après la thèse = 12%…. voir plus de stats sur le site « pourquoi les sciences » : http://sciencesenmarche.org/fr/pourquoilessciences/docteur-mais-pourquoi/focus-sur-le-doctorat/). Mais le groupe compte aussi physicien-ne-s, informaticiens, etc… contractuels et statutaires, dans l’ensemble plutôt jeunes.
Comme hier, nous sommes heureux de constater que de nombreux passants ont déjà entendu parler de nous. La couverture médiatique s’amplifie. Et sur toute la journée, nous n’aurons que des acquiescements du public.
Une photo au niveau du panneau d’entrée à Lyon (>400 km depuis Montpellier), on récupère quelques cyclistes de plus à proximité de l’Ecole Normale Supérieure, et c’est l’arrivée en fanfare à la place Sathonay sous les caméras de FR3 Rhone alpes (qui publiera un reportage le lendemain). Très bon discours de la maire d’arrondissement Nathalie Perrin-Gilbert (PCF).
Les grenoblois arrivent à la nuit après 123 km de route, accomplis dans un cas sur un Métrovélo de la ville de Grenoble! La première semaine de la marche prend fin, et on peut être contents de la tournure que prennent les évènements.
On parle de nous :
Le cortège composé d’une dizaine de cyclistes est parti de Montauban à 9h30 pour rejoindre Cahors vers 16h00. Après les déboires de l’étape Toulouse-Montauban (le camion balais est tombé en panne !) cette étape à cheval sur le Tarn-et-Garonne et le Lot était placée sous le signe de la bonne humeur ! Au programme (en plus du pédalage) un arrêt à Montpezat-de-Quercy (82) pour aller à la rencontre des anciens combattants de la ville. Plus loin sur la route, une visite du Château de Haute Serre (46) où les touristes sur place on pu discuter avec les scientifiques avant de déguster les meilleurs crus du château… Les cyclistes sont arrivés cet après midi à Cahors place Gambetta, fatigués mais ravi de l’accueil qui leur a été réservé sur l’étape !
Le samedi 4 octobre au matin, les scientifiques et le public se sont rassemblés aux deux pôles grenoblois (Minatech à l’ouest et l’université à l’est) et ont rejoint le centre de Grenoble au jardin de ville décoré pour l’occasion par des artistes supporters du mouvement ainsi que par des dizaines d’affiches et de tracts SeM (en n’oubliant pas de faire un crochet par le siège de G. Fioraso). Vers 10 heures, le grand rassemblement au jardin de ville qui a réuni un peu plus de cent personnes et a été l’occasion d’échanges et de discours des élus locaux et de syndicats en soutien au mouvement SeM. Enfin, c’est le grand départ de 56 cyclistes arborant fièrement les dossards vert pomme sous les feux des photographes. Vers 13 heures, la première étape piquenique, s’est déroulée dans le parc de l’Orgeais à Rives. L’occasion de manger des fromages, saucissons, pains… gracieusement offerts par des membres du comité local et de parler avec un journaliste d’un journal local le dauphine.
Enfin, le départ se réorganise, après l’information à la foule des probables difficultés de retours de Lyon (en effet, des travaux ayant lieu le même jour sur l’axe Lyon Grenoble, les TERs étaient coupés ce jour-là pour ce trajet). Par conséquent, de nombreux cyclistes sont repartis de Rives pour rentrer à Grenoble plus aisément (soit en vélo soit en TER Rives/Grenoble).
Le départ vers Lyon se réorganise avec une bonne vingtaine (23) de cyclistes encadrés par trois voitures (une voiture de tête avec les bannières et signes de sécurité appropriés, deux voitures balais pour les cyclistes en détresse). Le convoi emprunte de jolies petites routes dans les champs et les petits villages. Deux incidents seulement sont à déplorer : un pneu crevé et une roue cassée. La prise en charge des cyclistes pour continuer le trajet a été assurée par les voitures balais.
Les abords de Lyon sont un peu moins agréables car les routes sont plus grandes et plus empruntées par la circulation et qu’à Lyon le samedi soir c’est très embouteillé. (environ 1h entre l entree dans lyon et l arrivee a la place sathonay….)
Enfin, après ces 124 km d’effort, nous arrivons sur la place Sathonay réservée pour l’occasion par le comité local de Lyon.
Après une belle marche jeudi midi au milieu des toulousains, nous sommes allés quelques uns à la soirée d’ouverture de la Novela ou Sylvie Lorthois, chercheuse en mécanique des fluides, a porté un beau message pour sensibiliser le public de la soirée à notre cause. Du coup on a été très bien reçu à la sortie de la soirée.
Vendredi 3 octobre, nous étions une soixantaine Allées J. Guesdes sous un grand soleil, avec notre logisticien Thierry et son ami Paul qui conduit le camion balai. 53 sont restés pour se lancer dans les embouteillages classiques d’un vendredi matin. Mais dès qu’on a atteint le canal Latéral, « c’était que du bonheur ! ».
Trajet idéal tout le long pour des novices, en dehors d’une petite côte à Bouloc qui nous a bien mis en appétit pour déjeuner.
Un peu déçus à l’arrivée à Montauban car la place des Fontaines est un grand espace vide avec très peu de piétons. Nous sommes donc allés dans le vieux Montauban pour « porter la bonne parole » avec nos tracts sans vraiment pouvoir utiliser les posters comme support.
Pas grave, on fera mieux demain à Cahors…il y a la foire !
On parle de nous :
https://www.facebook.com/media/set/?set=a.290004687861169.1073741833.287636844764620&type=3
Et le discours de Sylvie à la Novela, 90 sec. chrono.
https://www.facebook.com/video.php?v=290034337858204
Valence – alentours de Péage de Roussillon (85kms, enfin pour ceux qui n’ont pas lâchement sauté dans la camionnette en fin de jouréne, hein Solange….).
2 octobre, devant le Museum, vitrine de notre activité, ils arrivent, répondent à FR3, La Dépêche du Midi, et démarrent à 300 selon les organisateurs, 400 selon la police, (jamais vu des motards aussi sympas!) vers le centre ville.
Le cortège est superbe, ponctué de slogans plus ou moins au point mais qui s’affirment durant la marche. Place du Capitole, la file d’attente pour les répétitions de l’orchestre (gratuit et festif), nous offre un public réceptif à nos explications sur le mouvement. Le cortège se retrouve au point de départ avec comme prochain RDV à la Halle aux grains où l’intervention de Sylvie Lorthois, chercheuse, nous permet d’engranger de nombreuses adhésions au mouvement et à la pétition. Nous sommes contents et prêts à pédaler le lendemain.
On parle de nous :
http://pluzz.francetv.fr/videos/jt_1213_midi_pyrenees_,110346232.html
http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/emissions/jt-1920-midi-pyrenees
Le jeudi 2 octobre, 20 à 30 cyclistes sont au rendez-vous sous le soleil à Tournefeuille. Le départ est donné, direction Toulouse. De nombreuses personnes nous attendent au Muséum d’Histoire Naturelle, quai des savoirs, sur les allées Jules Guesdes, où nous arrivons en fin de matinée.
Au total, ce sont entre 200 et 300 personnes qui ont symboliquement marché dans les rues de Toulouse pour distribuer des tracts et sensibiliser la population aux problèmes de la recherche publique en France.
Demain, tous à vélo direction Montauban. Bonne route à tous !!!
On parle de nous :